Lettres au Devoir Vovo Bombyx

Bonjour Grand-frère

Les « clés » sont faites et de toute éternité pour ouvrir des portes…Il m’est difficile d’imaginer que vous puissiez ne plus détenir de clés…Celles qui précisément sont destinées à vous ouvrir les portes de la rédaction du journal Le Devoir.

J’ai beaucoup de mal à comprendre la situation telle qu’elle est décrite, en des mots choisis par toi, mais je sais qu’il faut être réaliste ; ne restez pas trop loin les uns des autres car d’autres clés qui ouvriront de nouvelles portes vous attendent bientôt…

Le travail « abattu » a été beau et considérable.

Oui vous êtes des journalistes et vous le resterez…

Que Dieu vous garde

Que Dieu te garde

A dimanche.

– En fait, frérot, le message est destiné à la Rédaction : nous avions le choix entre confinement (travail à domicile) ou Rédaction.

Nous avions opté pour la rencontre. Nous revenons juste à l’option de départ de tirer le plus de profit du net par une présence médiate.

-Oui je sais que le message est destiné à la rédaction. Je tenais à marquer mes encouragements à tous
-Moi je tenais à ce que nul n’en ignore, surtout ceux du mailing qui reçoivent et apprécient Le Devoir. Mon penchant pour le partage. Ton soutien et tes encouragements font et sont Le Devoir.

Par ailleurs, pour l’édition du jeudi 8 juillet, les Astrophysiciens nous enseignent que les « droites parallèles » deviennent des « courbes » aux confins de l’Univers car l’Univers est courbe (une thèse parmi d’autres thèses…)

Émouvante histoire des esclaves abandonnés sur l’île. Les stratégies de survie mises en œuvre devraient être étudiées de très près. Une équipe pluridisciplinaire devrait prendre en charge ces questions et pas seulement les historiens et les anthropologues… Les linguistes sont concernés car leur langue de communication doit être étudiée.

L’acte d’abandon posé est un crime…

Une histoire à écrire au plus près

La position géographique de cette île doit être analysée car elle a aidé les survivants et quels survivants !
Un exploit rare que toutes les consciences doivent saluer…