22 les flics !
Les « Unes » du journal Le Devoir racontent l’histoire du Sénégal…
Un homme (un manifestant) tient entre « ses mains périssables » le drapeau de son pays, dans l’épaisse fumée des « gaz lacrymogènes »…
Un drapeau ne pleure jamais…
Les hommes parfois « pleurent » au milieu des gaz lacrymogènes qui affectent les « glandes lacrymales » mais les hommes qui pleurent, un jour, se lèvent…
J’ignore le nom du « photographe reporter » qui a pris cette photo historique mais cette photo traduit bien l’atmosphère, au sens figuré et au sens propre, qui a régné durant les « trois jours de mars » qui ont ébranlé le Sénégal.
Bravo Grand-frère car l’histoire se montre et s’écrit…
Fraternellement