Gouvernement : le Ter sifflera 3 fois
Nouveau gouvernement du Sénégal
Le « dernier TER…»
sifflera trois fois
Le gouvernement du Sénégal actuel a vécu…
Il est « né » le 1er novembre 2020, la veille de la fête de tous les Saints…
D’autres « enfants de la Toussaint », les premiers enfants, étaient entrés « armés » dans l’histoire, le 1er novembre 1954…. C’était en Algérie…
Curieusement, l’Algérie et le Sénégal ont des dates historiques communes, toutes proportions gardées.
Jugez-en plutôt :
1er novembre 1954 : déclenchement de la révolution algérienne…
1er novembre 2020 : formation du gouvernement du Sénégal suite au remaniement ministériel
24 février 2019 : élections présidentielles au Sénégal
24 février 1971 : nationalisation des ressources du sol et du sous-sol en Algérie ; le pétrole algérien était décrété « rouge »…
Comparaison n’est pas raison et Frantz Fanon, le médecin psychiatre de l’hôpital de Blida, l’auteur célèbre de l’ouvrage « Les damnés de la terre », expulsé d’Algérie par les autorités françaises au mois de janvier 1957, pour rejoindre ensuite le FLN et s’engager corps et âme dans la lutte pour l’indépendance de l’Algérie, Frantz Fanon n’est plus… Il repose heureusement en « terre algérienne »….
La révolution n’éclatera pas au Sénégal…
Dans quelques jours de ce mois de septembre probablement – la décision ne nous appartient pas- le dernier gouvernement avant la prochaine échéance présidentielle sera formé.
« Dernier TER » avant la station où tous les ministres seront invités à nouveau à descendre…
2024…
Leur mission sera redoutable, voire « titanesque ».
L’heure des « titans » sonnera bientôt…
Combien seront-ils ?
Nul ne saurait le prédire sauf peut-être les Pangols du Sine. Le « droit à l’erreur » ne leur sera pas accordé pour cette fois-ci et ils voudront bien comprendre cette « douce intolérance… ».
Ils devront démontrer aux yeux des Sénégalais leur expertise et apporter les solutions tant attendues….
Ils devront même trouver des solutions inattendues…
Des « Ministres démiurges » qui viendront pour faire « gagner le Sénégal » comme le 6 février 2022, au Cameroun.
« Vaincre… » sera leur seul mot d’ordre de jour comme de nuit…
Ils devront se mettre au travail sans relâche…
« Ni TER ni mer…» : du travail pour la jeunesse qui attend dans les maisons depuis trop longtemps…
« Ni TER ni mer…» : santé pour tous et soins de qualité pour tous sans exclusive aucune et les moyens devront être trouvés, moyens matériels, moyens financiers et moyens matériels.
« Ni TER ni mer… » : éducation de qualité pour les jeunes qui doivent rester la priorité des politiques économiques à élaborer.
« Ni TER ni mer.., » : du pain pour tous afin que le fléau de la faim soit enrayé et que la pauvreté soit résorbée bientôt dans les villes et dans les campagnes du Sénégal, notre pays…
« Ni TER ni mer…. » : équité des territoires, développement équilibré, « ni centre, ni périphérie »…
« Ni TER, ni mer… » : planification de l’économie et redistribution équitable des revenus, réduction des inégalités ; ce n’est pas du « communisme », c’est du « développement économique et social »…
Ce n’est pas du populisme c’est de la lutte contre le sous-développement et ses conséquences funestes…
« Ni TER, ni mer… » : exploitation maîtrisée des ressources naturelles (pétrole et gaz entre autres) qui appartiennent au peuple (article 25-1 de la Constitution adoptée par voie référendaire le 20 mars 2016, le jour du dimanche des Rameaux…)
Dix-sept mois, dix-huit mois ou vingt mois pour convaincre…
« Gagner ensemble »…
Le « TER » sifflera trois fois…
Mébévé
27/8/2022