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Ombres chinoises & ombres sénégalaises

Dernières nouvelles du Sénégal

Ombres chinoises &

ombres sénégalaises…

 

Nous avons tous rêvé des jeux d’ombres…
Nous nous sommes passés le mot ( y compris notre ami Jean Pierre Corréa…)

Les « ombres chinoises » reposent sur un trépied « invisible » :

1- des formes
2- un écran
3- de la lumière

Il s’agit, bien sûr, d’un théâtre d’ombres avec des messages distillés au long du spectacle…
Il arrive parfois que le spectateur ne capte pas le message ou la lumière, trop vive…

Les « ombres sénégalaises » qui n’existaient pas encore reposent sur un trépied « visible » :

1- des figures politiques
2- une scène politique
3- de la lumière (naturelle)

Il ne s’agit plus d’un théâtre d’ombres mais de scènes réelles tirées du quotidien…
Les messages sont compris au premier degré par les spectateurs.
Rien ne saurait opposer, à première vue, les « ombres chinoises » aux « ombres sénégalaises »…
Un théâtre doit rester un théâtre et une scène doit rester une scène…
Un problème reste à résoudre : le message et son contenu, sa lumière vive…
« le cavalier et son ombre »…
Le message doit être décodé mais le message politique est différent du message publicitaire…
Le produit à vendre change de nature.
Le cavalier doit être identifié avant son ombre…
Afin de ne jamais « jeter la proie pour l’ombre »…
Au-delà de l’ombre projetée, le message capté doit servir un but précis…
Faut-il cacher le jeu politique aux citoyens ?
La scène politique n’est pas une scène théâtrale…
Les enjeux sont multiples : politiques, économiques, sociaux et culturels.
Il faut revenir à la vérité car occulter la vérité revient à jeter un voile sur la mer…
Tôt ou tard le voile se gonfle et la vague déferle…
Une mer ne s’arrête pas avec un sourire…
Les « ombrages chinoises » dont on voudrait faire remonter les origines à l’Inde ou à la Chine ont certainement été créées, pour la première fois, dans les «  grottes du sahara » au cours des migrations de l’homme noir, le «  premier homme »…
Les « ombres chinoises » à bien y regarder, au-delà des idées reçues, ressemblent tant à des « ombres sénégalaises »…
Ombre pour ombre, choisissons «  l’ombre primordiale »….
Quo vadis ?