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Numérologie : 22-7 : Arcanes politiques

Arcanes politiques

Le chiffre des noms hardis

Vous êtes combientième ?

Si les noms de Macky Sall, Abdou Diouf et Léopold Senghor recouvrent les chiffres 22 (vingt-deux), c’est parce qu’ils renferment un attribut supplétif, voire doucereux pour ne pas dire chanceux.

La chronique de
Tidiane Sène
Mon ami et frère Assane Kâ, grand analyste politologue, me disait il n’y a de cela quelques temps que le chiffre 22 correspondait à des noms hardis. Aussi, le chiffre 7 a des significations profondes dans la probabilité pour d’autres hommes politiques d’accéder au pouvoir sans trop d’effort.
L’étude de noms que corroborent ces mystérieux chiffres est une science complexe développée dans beaucoup d’endroits connus en Afrique subsaharienne et dans le monde. Cette perception codifiée sur l’avenir des hommes liée sur la base de leurs simples noms dépasse certaines sciences exactes, parce que liée à la philosophie des combientièmes. À entendre parler le mari de la docteure Ndèye Fatou, on sent que les significations cogitées découlent de propriétés illustrant des définitions gnomiques profondes des sciences infuses très peu connues dans le monde.

Si les noms de Macky Sall, Abdou Diouf et Léopold Senghor recouvrent les chiffres 22 (vingt-deux), c’est parce qu’ils renferment un attribut supplétif, voire doucereux pour ne pas dire chanceux. La signification de chaque nombre apprêté à un nom montre que certaines personnes peuvent accéder à la félicité, c’est-à-dire au pouvoir sans trop de grabuges, contrairement à d’autres. Par contre, il n’en est pas de même pour les noms comme Abdoulaye Wade, Ousmane Sonko ou Nelson Mandela. Ces derniers mèneront une vie mouvementée durant leur conquête du pouvoir. Simplement parce qu’ils sont tous couverts du chiffre 7 (sept), prodiguant à leurs noms un caractère très laborieux avant qu’ils n’accèdent au succès escompté.
Ainsi racontent les liseurs d’étoiles qui planent au-dessus de notre passé, depuis des millénaires.
La dernière livraison du fantastique journal « Le Devoir » de Pathé Mbodje, sociologue avéré et journaliste émérite, dévoile à sa « Une»  une photo très spécifique de tous les potentiels candidats, sauf de quelqu’un pourtant nanti du chiffre 33 (trente trois). Il s’agit de Karim Meissa Wade qui est , selon l’instigateur, la surprise qui reste et demeure dans la course de la présidentielle de 2024. Attendons donc de voir !
Pour finir, le proverbial aruspice de conclure que ce sera très compliqué pour le chiffre 35 (trente cinq) que porterait un certain Idrissa Seck, quand bien même mon ami El Hadji Yaya Bâ le porterait favori.

Et notre métaphysicien de dire que tous ces potentiels candidats affichés ne le seront que pour soutenir ceux qui iront au 2ème (deuxième) tour de la présidentielle du 25 Février 2024, si l’élection n’est pas reportée.
Les affirmations de ce gourou illuminé qui professait sur le caractère secret et caché concernant la marque d’un futur potentiel président de la République du Sénégal restent une source de méditation !

Tidiane SÈNE,
Toulouse