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Linguère : Des cracks envoyés paître

Linguère

Des cracks envoyés paître

dans l’immensité de la nature

Sauver le cheptel conduit loin des chemins du savoir ; c’est la malédiction de la sécheresse qui vide les classes de leurs meilleurs éléments.

Des cracks des établissements scolaires ont quitté les écoles pour préserver le patrimoine animal de leurs parents victimes de la sécheresse du Djoloff traditionnel. Sauver le cheptel conduit loin des chemins du savoir.

MMDIÈNE

Un long débat motivait un conclave. La commune de plein exercice de la capitale départementale de la capitale du Djolof est exemptée de ce que “les partenaires de l’Académie de l’Inspection régionale, de l’Inspection départementale de l’Education nationale (Iden) et de l’Association des parents d’élèves appellent la malédiction de la sécheresse“. A laquelle s’ajoutent les feux de brousse et les ravages du tapis herbacé.

Des zones rurales victimes de ces phénomènes obligées de transhumer vers des espaces plus cléments pour l’homme, sa famille et son capital animal. Les élèves de ces terroirs ont quitté les classes pour sauver le bétail et le cheptel.