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La communication d’État et les visibilités pour 2024

La communication d’État

et les visibilités pour 2024.

 

Rapport d’étude

 

Présenté par :

Mohamed Bachir DIOP, Droit, journalisme

Pathé MBODJE, Sociologue

Séga Fall MBODJI, mathématicien, statisticien

Mame Gor NGOM, Littéraire, politiste, journaliste

Avec la participation exceptionnelle de

Vovo Bombyx, économiste, homme de Lettres

B-

La communication d’État
et les visibilités pour 2024.

Résumé
2024 pourrait être une translation de 2012 malgré les manifestations qui se déroulent actuellement au Sénégal et dans la Diaspora, reflet de la situation vécue en 2011/2012. Mais contrairement à 2012 où la veille avait conduit à une seconde Alternance après celle de 2000, ce régime est dans cette même dynamique qui fera de 2024 une translation de 2012.
Une élection présidentielle est organisée à périodicité définie. C’est une étape cruciale pour un pays de désigner son président qui occupera la fonction de chef de l’Etat. L’issue d’une période électorale ne doit donc pas se limiter à une simple proclamation des résultats par un listing des pourcentages de suffrages obtenus. Une analyse plus approfondie profite non seulement aux candidats, mais aussi à tous les citoyens.

L’étude qui suit dévoile d’une part les forces et faiblesses des partis politiques, l’implication des citoyens dans le choix de leurs dirigeants d’autre part. Elle offre également aux politiques l’opportunité de jauger l’efficacité de leur programme et de quantifier l’appréciation et la sanction pour le président sortant. Même si les candidats concourent à la présidence avec des divergences, des similitudes tendancielles existent implicitement comme nous avons pu le constater avec les 2 blocs {Macky, Sonko, Issa} et {Idy, Madické}. Conditionnellement au nombre d’années d’expérience en politique, ces blocs sont cohérents avec le cluster des juniors et celui des séniors.

De plus, des facteurs exogènes comme les réseaux sociaux, les organes de presse, etc. jouent un rôle prépondérant dans la sensibilisation des citoyens qui sont de plus en plus connectés et déterminés. L’actuel appel à la résistance qui a suscité la révolte du peuple sénégalais y est largement diffusé et constitue des points en moins pour Macky en 2024. C’est Bis-répétita avec la situation vécue en 2011/2012.
C’est la principale conclusion de l’étude sur la communication d’État et les visibilités pour 2024.
Par ailleurs, le couvercle du nombre de candidatures à la présidence de la République du Sénégal pourrait mathématiquement sauter si le Sénégal reste souverain dans la refonte du fichier électoral et cherche le consensus sur le fichier en lui-même : le regard de l’étranger sur des problèmes que sauraient résoudre les Sénégalais est à la fois une frustration morale et herméneutique. Être sous couvert d’un « Toubab » est une triste réalité qui écœure pas mal de nos concitoyens porteurs de projets dans la Diaspora : pourquoi un Toubab doit-il s’immiscer dans le projet d’un Sénégalais, pour le Sénégal, sollicitant les autorités sénégalaises ? Ce complexe d’infériorité est toujours d’actualité et rappelle Cheikh Anta Diop qui dit que “la vérité sonne blanche” ; le Premier Mawdo Mamadou Dia en disait autant dans son ouvrage « Le Sénégal trahi, un marché d’esclaves » quand il affirme que tout est finalement hors du Sénégal sauf le Sénégalais lui-même (Éditeur : Selio,1 janvier 1988).
Sur le plan politique, la symbolique doit pousser à savoir dire ou savoir faire pour savoir faire rêver. Les pouvoirs qui se sont succédé à date ont pêché à ce niveau, avec la durée.
Cette contradiction apparente entre nombre et crise de langueur repose sur le constat que quelle que soit l’action gouvernementale, la communication est essentielle à la bonne connexion entre le peuple et ses élites politiques. Une mauvaise communication comme relevé dans des exemples depuis Abdou Diouf devient une étiquette négative pour le régime : un simple constat sur le réseau professionnel LinkedIn où les Sénégalais ont partagé cette maladresse de Macky Sall sur les vaccins, le 25 février dernier ; dans les commentaires, certains ont même demandé pardon à Dieu d’avoir voté pour Macky Sall .Quelle opportunité pouvant réconcilier le peuple et ses politiques ?
Pour apaiser les tensions et avoir une meilleure visibilité pour 2024, il faut réviser dans un autre moment les textes de lois qui doivent reposer sur une logique mathématique. La restauration du parrainage avec des modalités mathématiquement conformes puis une réforme des modes de scrutin rassurerait chaque candidat et les citoyens.
Une cellule Think-Tank s’est penchée sur la production du programme de communication d’Etat dans la perspective des événements actuels menant à 2024.

Etude politico-statistique de l’élection de 2019 transposée en 2024 par raisonnement circulaire a permis de réfléchir sur la stratégie de communication d’État comme souci majeur pour tous ceux qui se penchent sur le devenir immédiat du Sénégal, un canevas à verser dans le panier comme effort de guerre en direction de 2024. La cellule Think-Tank est une nécessité prioritaire si et seulement si elle perçoit plus de visibilité pour 2024 qui apaiserait les tensions fébriles ne tenant qu’à un fil.
Ses remarques, conclusions et suggestions sont consignées dans les pages qui suivent, agrémentées de deux Annexes :
Etude politico-statistique de Benno Bokk Yakkar et de l’opposition pour les élections législatives de juillet 2017
– L’Asutic sur la Présidentielle 2019 et le Parrainage : Comment Macky a utilisé les données personnelles pour gagner ! Ibrahima DIALLO ; Sud Quotidien | 27/02/2021
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CONTEXTE DU PROJET-2017-2024

Tous les présidents présentent à date la même originalité que le président Abdou Diouf de laisser parler son cœur et de ne pas dompter l’impulsion sauvage qui se manifeste en cas de forte émotion ou conviction et qui ruine toutes les stratégies de communication antérieures : « Jeunesse malsaine » en 88 avec la campagne présidentielle et l’étape de Thiès, « des bandits de grands chemins » en 92 avec la crise de l’électricité, d’une part, la délicatesse des relations avec les religieux de décembre 2010 avec l’affaire de la statue de la Renaissance africaine et la mauvaise réaction des religieux sous Wade, le discours surprise de Macky Sall le 25 février 2021 autour de la stratégie de vaccination contre la pandémie à la Covid-19 et les menaces autour d’un don aux pays africains dépourvus qui le voudraient, face aux hésitations des populations sénégalaises.

Ces grands moments de rencontre avec les populations se sont avérés être des ratés que l’on retient plus que tout le reste…et l’effort des conseillers et cellules de communication.
Ce sont malheureusement les seuls moments de communication que l’on retient des 20 ans de Diouf et des douze ans des deux autres.
Sur le plan socio-économique, la société social-libérale sauvage née des plans de restructuration et d’ajustement structurel du régime socialiste s’est achevée dans un libéralisme tout aussi sauvage de Me Wade et une attitude bâtarde des années Macky renforçant une paupérisation continue des populations sénégalaises. La frontière devient dès lors étanche entre la structure sociale et un pouvoir de plus en plus isolé…qui s’en irrite.
Au niveau pratique, la pandémie à la Covid-19 et l’éventualité d’une candidature du président Macky Sall ont bloqué beaucoup d’initiatives économiques qui ne seront pas levées avant 2024 au moins, de crainte d’un nouveau Mouvement du 23 juin et d’une persistance de la maladie du Coronavirus dont les miasmes persisteraient encore au-delà de 2024.
Concevoir une stratégie communicationnelle devrait donc en priorité tracer les voies de réconciliation entre les deux champs et permettre un moyen terme consensuel.
Il y a eu des tentatives, notamment en 2010 : avec la crise de décembre entre Wade et les religieux, Karim Wade avait par exemple demandé à son père d’écrire désormais ses interventions devant les impairs qui se répétaient. Tuer la spontanéité est-il une étape ?

NATURE DU PROJET

Réfléchir sur la stratégie de communication d’État devient ainsi un souci majeur pour tous ceux qui se penchent sur le devenir immédiat du Sénégal, un canevas à verser dans le panier comme effort de guerre en direction de 2024. La cellule Think-Tank est une nécessité prioritaire si et seulement si elle perçoit plus de visibilité pour 2024 qui apaiserait les tensions fébriles ne tenant qu’à un fil.

OBSERVATIONS

COMMUNICATION D’ÉTAT.
Le volontarisme de la stratégie qui se veut offensive est plutôt défensif : le pouvoir réagit plutôt que d’agir, ce qui laisse un boulevard à une opposition pour peu qu’elle fasse preuve d’un minimum de pugnacité. C’est un premier constat.
Nos études relèvent par ailleurs cette ambiguïté du discours qui présente peu de forces mais beaucoup de faiblesses, surtout lorsque le discours présidentiel s’adresse plus à l’étranger qu’aux Sénégalais eux-mêmes. En fait, lorsque le président parle aux Sénégalais, il veut surtout séduire la communauté internationale, la France en premier. C’est une des faiblesses de sa communication.
Le timing des intervenants prouve le premier constat : beaucoup de collaborateurs attendant l’intervention du chef pour entamer leur plan de communication renforçant plus les idées du patron que leur valeur dont ils ne doutent point.

La stratégie du pourrissement qui caractérise l’Etat dans sa communication entraîne un silence de cathédrale quand toute l’opinion publique se saisit d’un dossier ; d’autres, assez nombreux, envahissent la presse après pour verser dans un théâtralisme des plus douteux : tous ont vicié l’environnement communicationnel de la présidence de la République et de l’État sénégalais en ne respectant pas et en ne reflétant pas dans leur logos l’idéal et la fidélité envers une vision, une conception, une idée.

En conséquence, lorsque le chef parle, il cherche plus à rassembler sa famille politique dans sa diversité plurielle et ne fait que renforcer les uns et les autres dans leur turpitude et leur incapacité d’apprécier la réalité et la majesté du projet de société communicationnel.

Au demeurant, dans l’intervalle, à l’objet abstrait formel que serait la déclaration du chef, se sera subrogée dans les faits une réponse concrète, réelle, vivante des populations dans leur volonté de redéfinir la gestion du temps et de l’espace.
Si l’arrivée de toute nouvelle administration suppose la conception d’une superstructure démocratique, les plombiers ne parviennent pas à paramétrer et dimensionner les conduites pour faciliter l’alimentation du consommateur et le débarrasser des extras qui ont constitué finalement un goulet d’étranglement et d’incompréhensions.

SYMBOLIQUE
Faire rêver, c’est aussi savoir dire ou “faire savoir”. Au-delà du “faire”. Le pouvoir peine à bien dire à cause d’une improvisation mal préparée qui a pour conséquence beaucoup de sorties malheureuses. Pour bien communiquer, il faut avoir le sens du détail, de la précision et de la rigueur. Une des failles du pouvoir réside dans cette “négligence“. A plusieurs reprises, des coquilles ou même de graves fautes sont notées sur les tweets et posts du président de la République. Inacceptable pour une institution qui a ou qui doit avoir, à sa disposition, des ressources humaines de qualité. Il faudrait donc tout préparer, tout encadrer. La perfection doit être le maître-mot.
Pour ce faire, il faut bien cerner les éléments de langage, bien se préparer pour un produit fini accessible et sans faille.
La communication est un processus symbolique.
On communique toujours par des symboles. Des signes linguistiques à l’écrit ou au parlé. Par des gestes, images, objets, modes de comportement…
Comme beaucoup de pays africains, le Sénégal est marqué par des structures sociologiques et ethniques assez fortes.
Quels sont les enjeux des discours au niveau de la culture ? Des langues ?

MATHEMATIQUES
Communiquer sert à accumuler au final, lors de consultations électorales ; la sommation des voix obtenues au final devrait être proportionnelle à la pertinence du discours délivré et à sa portée et prégnance sociales.
Commençons par citer le verset coranique 113 de la Sourate 23 qui fait allusion aux mathématiciens : “… Interroge donc ceux qui comptent“. Si on observe les lois de la nature, on ne verra jamais par exemple une marguerite avec 25 pétales car leur nombre est une suite de Fibonacci (suite où chaque terme est la somme des 2 termes qui le précèdent).
Dès l’origine, la Statistique permettait à l’État de disposer d’outils pour mener à bien ses politiques publiques. L’étymologie reflète bien cette mission : le “stat” de statistique a la même racine que “État”. Tout cela pour dire que les Mathématiques sont indispensables à la bonne gouvernance. De l’affaire Sonko qui défraie la chronique découle un appel à la résistance pour les raisons suivantes : recul de la démocratie, bafouement des droits et partialité de la justice. Pour apaiser les tensions et avoir une meilleure visibilité pour 2024, il faut réviser les textes de lois qui doivent reposer sur une logique mathématique.
La restauration du parrainage avec des modalités mathématiquement conformes (journal Le Devoir du 11 février 2021) puis une réforme des modes de scrutin (journal Le Devoir du 22 février 2021) rassureraient chaque candidat et les citoyens. Le scrutin du jugement majoritaire pourrait même admettre la 3e candidature de Macky Sall qui suscite des divergences dans l’opinion publique. En effet, par ce mode de scrutin, les électeurs exprimeront leur sentiment pour chaque candidat, sans aucune exagération sur leur candidat préféré. De plus, tous les candidats pourraient se retrouver disqualifiés s’ils ne conviennent pas au peuple. Dans ce cas, il sera possible d’organiser de nouvelles élections en exigeant de nouveaux candidats et interdisant à ceux-là de se représenter.
Sur ces bases claires et bien définies de ces réformes, proposées non pas par des politiques mais plutôt des tiers citoyens, on pourrait trouver un terrain d’entente entre le peuple et les politiques. Mais par le respect des droits des uns et des autres et dans un souci d’équité.
Plusieurs sources ont fustigé le parrainage moins en lui-même que par le piège qu’il tendait aux autres face au candidat du pouvoir (Cf.L’ASUTIC SUR LA PRESIDENTIELLE 2019 ET LE PARRAINAGE. Comment Macky a utilisé les données personnelles pour gagner !, Ibrahima DIALLO | 27/02/2021 | Sud quotidien)
3.600.000 parrains pour Macky : Certes ils ont démarré leur parrainage bien avant les autres candidats, mais le dépôt au conseil constitutionnel est une liste de 65.000 parrains au plus. La pénalité repose donc sur les doublons dont la chance d’y échapper est une fonction décroissante de l’ordre des dépôts. C’est la raison pour laquelle les candidats s’étaient bagarrés pour déposer en premier. Il fallait un traitement équitable indépendamment de l’ordre des dépôts et le système rotatif était la méthode la plus judicieuse.
Un rectificatif toutefois, par rapport à certaines observations qui se veulent critiques : Excel compte plus de 1.048.576 lignes. En effet, un fichier Excel est un classeur composé d’une ou plusieurs feuilles comportant chacune 1.048.576 lignes. Donc le fichier électoral de 6M d’électeurs nécessitera 6 feuilles.

Proposition : Commençons par exclure de l’audit du fichier électoral les Européens. Le ministre de l’intérieur est un allié du président comme nous avons pu le constater avec Aly Ngouille Ndiaye. Il faut obligatoirement un détachement de la gestion du fichier pour plus de neutralité. L’audit du fichier relève de la mission d’un ingénieur en traitement de données. On pourrait donc créer un organisme compétent et indépendant de statisticiens pour la gestion des listes électorales. De ce fait, il y aura une équité informationnelle entre les partis politiques le jour de sa publication. (cf. Journal Le Devoir du 11/02)

C-Idéologie

Resocialiser les Sénégalais ?

Les batailles du futur mettront l’accent moins sur les programmes (projection) que sur l’idéologie au sens de capacité à imaginer les raisons d’une symbolique du passé quand l’individu en deuil de son idéal s’éloigne d’une société dans laquelle il faut pourtant le réintégrer. Certes, la société produit parfois ses propres monstres, certainement pour mieux tester la solidité des relations sociales, mais pêche aussi parfois dans la communication-socialisation, c’est-à-dire dans sa capacité à faire rêver, c’est-à-dire savoir dire ou “faire savoir”. Au-delà du “faire”.
Le péjoratif perceptible chez Molino (1) avec une idéologie symbole de l’imprécision (traduire et trahir) est toujours notable chez les nouveaux théoriciens : le mépris de l’autre enfermé dans ses fantasmes renforce un racisme qu´il faut combattre par la pluralité (2,3).
Pascal Bruckner partage avec Mathieu Bock-Côté le glissement de l’affrontement des classes sociales à la lutte des races. Bock-Côté ne va pas plus loin que le rapport Laurendeau-Dunton sur la solitude des deux races en Nouvelle France de la revanche des berceaux, thème récurrent chez les auteurs francophones de Canada revenant sur la bataille des Plaines d’Abraham. Evitons de poser le débat en termes d’isolement physique ou moral à la source de l’idéologie en évitant la problématique de l’échec collectif à répondre au besoin de sociabilité de tous. Le Canada s’y essaye qui vient de nommer une autochtone Gouverneure générale, ce peuple premier dit allophone par déni de tous droits humais essentiels.
La nouvelle théorie affilie souvent l’idéologie à l’aliénation quand l’individu se cherche une nouvelle source de motivation sociale, une nouvelle re-socialisation devant ce qui lui semble l’impasse sociétale qui pousse à l’extrémisme : si les crises aboutissent en effet à une nouvelle société en régression, accepter le Nazisme ne vaut pas mieux que l’extrémisme religieux d’aujourd’hui.
La société serait-elle devenue hostile à l’individu au point qu’il veuille la changer ? Si les grands moments en sont de crise, l’incapacité à rebondir devient un échec collectif de populations incapables de répondre au besoin de sécurité de leurs populations.
Les idéologies de notre époque deviennent ainsi violence à exercer contre soi-même (aliénation des nouveaux théoriciens) et les autres, le glissement de Mathieu Bock-Coté.

Mais quand Molino se saisit de l’objectif et en fait un élément d’étude, les néo-idéologistes s’attardent sur les conséquences à long terme : traduire l’évolution de la société en idéologies nouvelles, évolution et non changement social au sens de Guy Rocher (4), communication (rapide ?) et consommation, Autonomie et dépendance. La formulation est souvent séduisante, surtout lorsqu’on essaie de légitimer l’heuristique par Freud, Lacan, Marx ou des anonymes exposés au grand jour (Winnicott). L’avantage est la morale qu’il faut tirer est le contre-modèle social que ces nouvelles idéologies proposent et qui sont sans avenir (séduction libertaire de la communication et l’autonomie systématique, et celle de l’autorité, des modèles identificatoires transmis par les parents et l’héritage de la tradition).

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Références bibliographiques

1-Sociologie et sociétés Volume 5, Numéro 2, novembre 1973, p. 17–44
Sémiologie et idéologie, Les Presses de l’Université de Montréal, 1973
2- Commission royale d’enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme
La Commission royale d’enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme est une commission royale instituée par le gouvernement canadien de Lester B. Johnson– Wikipédia
Création : 19 juillet 1963
3- François Duparc : Vie et mort des idéologies, In Le Journal des psychologues 2009/2 (n° 265), pages 65 à 69
4- Guy Rocher : Introduction à la sociologie générale, vol. 3, Montréal (Québec), Canada, Éditions H.M.H., 1968-1969 (ISBN 9782896476497)